
LOUYZ : le pari étal du trompe-l’œil !
Ses pinceaux courent sous la mansarde, virevoltent dans le cadre ; le débordent, remontent le long de la lézarde, de là s’étendent et se déploient
Ses pinceaux courent sous la mansarde, virevoltent dans le cadre ; le débordent, remontent le long de la lézarde, de là s’étendent et se déploient